inovallée, l'histoire d'un succès

La ZIRST fut, en France, une des premières zones à vocation entièrement dédiée à l'accueil d'entreprises innovantes et technologiques.

1968, naissance d'une idée novatrice
Quelques visionnaires grenoblois rêvent d'une Silicon Valley à la française, ou d'un équivalent de la route 128 de Boston, avec une double ambition :

     * favoriser le développement des technopoles de pointe

    * tisser une passerelle entre université, recherche et industrie

1972, création de la technopole avec 3 entités d'animation et de gestion :

     * ProZIRST SA (une société de promotion immobilière, dissoute en 1986),

    * ProZIRST (Association Inter-entreprises de la ZIRST )

    * Comité d'Agrément (chargé de veiller au respect de sa vocation)

L'aménagement du territoire est confié à un syndicat mixte, la SADI. Un nouveau concept locatif est mis en place par la Ville de Meylan pour l'accueil des entreprises : les LOCAZIRST, proposant des surfaces évolutives en bail précaire permettant aux jeunes entreprises de s'étendre au rythme de leur croissance.
1972-2004 : un développement régulier
SAMES est la première entreprise bénéfinant des avancées de la recherche en électrostatique à s'implanter sur la ZIRST. Le développement du parc sur Meylan se fait ensuite autour de deux moteurs principaux : Merlin Gerin et le C.N.E.T. En 1988, l'extention de la ZIRST débute sur la commune voisine de Montbonnot-Saint-Martin. L'implantation de l'INRIA contribue à son démarrage en 1996.

2005, un nouveau visage : la ZIRST devient inovallée
Après avoir traversé sans dommage majeur les principales crises de cette fin de siècle, un tournant stratégique s'annonce. La phase de commercialisation s'achève, le succès est d'autant plus méritoire qu'il n'est dû qu'à des investissements locaux, et le nouveau combat qui s'annonce est une affaire d'image. En 2005, un programme global de redynamisation est lancé en partenariat avec les collectivités territoriales. Nouveau nom, nouvelle image et nouveau positionnement. En devenant inovallée, le berceau de la vocation technologique iséroise se positionne aujourd'hui comme le leader du groupe logiciels et systèmes ambarqués de Minalogic, l'actuel pôle de compétitivité grenoblois.