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Publié le par Cyril

1.jpgJeudi 14 juin 2007 à 17h00
Réunion en présence de Christian ESTROSI au siège de l'UMP, 9 place Paul Vallier à Grenoble

 

Jeudi 14 juin à 20h30
Réunion publique à la salle Décibeldonne
Avenue de Chamechaude à Meylan

 

Vendredi 15 juin à 20h30
Réunion à l'auditorium de la Maison du Tourisme
Rue de la République à Grenoble
(Tram A et B arrêt H. Dubedout, Maison du Tourisme)

 

Je compte sur vous !

 
Bien fidèlement,
Alain Carignon

 

Publié dans UMP 38

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Petit rappel :Extrait de l'arrêt de la Cour d'Appel de Lyon (7° chambre A) du 09/07/1996 MINISTÈRE PUBLIC c/ Monsieur Louis BERA, Monsieur Alain CARIGNON, Madame Claudine MEINNIER épouse DUTARET, Monsieur Jean-Louis DUTARET, Monsieur Marc-Michel MERLIN, Monsieur Pierre MERLIN, Monsieur Frédéric MOUGEOLLE, Monsieur Jean-Jacques PROMPSY : « Attendu que Monsieur Alain CARIGNON, élu du peuple depuis vingt ans, a bénéficié de la confiance d'une part de ses concitoyens et d'autre part des plus hautes autorités de l'État qui l'ont appelé, à deux reprises, à occuper des fonctions ministérielles ; que les éminentes tâches, qui lui ont ainsi été dévolues, auraient dû le conduire à avoir un comportement au dessus de tout soupçon ; qu'au lieu de cela il n'a pas hésité à trahir la confiance que ses électeurs lui manifestaient, en monnayant le pouvoir de maire qu'il tenait du suffrage universel, afin de bénéficier d'avantages matériels qui se sont élevés à 19 073 150 francs et de satisfaire ses ambitions personnelles ; qu'il a ainsi commis l'acte le plus grave qui puisse être reproché à un élu ; qu'un tel comportement est de nature à fragiliser les institutions démocratiques et à faire perdre aux citoyens la confiance qu'il doivent avoir en des hommes qu'ils ont choisis pour exercer le pouvoir politique (...) Qu’en outre, au cours des débats, son attitude devant le tribunal a constitué à mettre en cause d’autres hommes politiques, élus ou anciens ministres et à leur imputer des faits similaires à ceux dont il s’est rendu coupable, ce qui ne peut contribuer qu’à destabiliser les institutions de l’Etat ; il est donc justifié qu’en répression soit prononcée une peine d’emprisonnement dont la partie ferme sera augmentée dans la durée et qu’Alain Carignon étant absent à la lecture de la décision un mandat d’arrêt soit pris à son encontre. »
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